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LES PETITES PHRASES... - ARCHIVES - 1998
 

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1998

Haut de la pageDécembre 1998
  • Faute avouée...
    "Nous sommes très désolés non seulement pour les vies humaines, mais aussi pour les vies d'animaux perdues pendant la guerre".
    (Nuon Chea, ancien bras droit de Pol Pot, cité par Le Monde, 31 décembre 1998, p. 4.)
  • A méditer...
    "Puisse Noël donner une nouvelle vigueur, dans le monde, au consensus en faveur de mesures urgentes et adaptées pour arrêter la production et le commerce des armes, pour défendre la vie humaine, pour bannir la peine de mort, pour délivrer les enfants et les adolescents de toute forme d'exploitation, pour arrêter la main ensanglantée des responsables de génocides et de crimes de guerre".
    (Message de paix "Urbi et Orbi" du Pape Jean-Paul II.)
  • Touchante naïveté...
    "M. Butler a démenti [avoir transmis son Rapport au Président Clinton deux jours avant de le présenter au Conseil de sécurité], mais il a déclaré avoir «parlé à un certain nombre d'ambassadeurs de la teneur de ses conclusions» (...), ajoutant ne pas croire que le rapport soit à l'origine des bombardements".
    (Le Monde, La crise irakienne, dimanche 20 décembre 1998.)
  • Lu dans la Presse...
    "L'Australie briguait alors l'un des sièges d'observateur au Conseil de sécurité de l'ONU (...)".
    (Le Monde, 19 décembre 1998, p. 3.)
  • Lu dans la Presse...
    "Par ailleurs, à ce droit commun s'est ajoutée la loi communautaire européenne qui, de toute manière, prime sur le droit britannique. "Même s'il avait perdu son appel devant la Cour des droits de l'homme de Strasbourg, Pinochet n'aurait eu aucun mal à démontrer que ses droits fondamentaux avaient été bafoués, (...)", ajoute notre interlocuteur."
    (Le Monde, 19 décembre 1998, p. 5.)
  • A quoi sert l'ONU...
    "C'est évidemment très bien quand l'OTAN et l'ONU peuvent agir de concert. Mais l'Alliance ne peut être l'otage du veto de tel ou tel pays contre une opération. Car, dans une telle hypothèse, l'OTAN ne serait plus qu'une simple filiale de l'ONU. (...) Il serait parfait, en théorie, d'obtenir à chaque fois un vote à l'ONU, mais en pratique cela ne marche pas. Il me semble qu'il est donc très important pour nous d'être capable d'agir quand c'est nécessaire tout en essayant d'obtenir le soutien de l'ONU quand c'est possible".
    (Interview de Madeleine Albright, Le Monde, 9 décembre 1998, p. 4.)
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